Lors de notre dernier voyage au Cambodge, nous avons rencontré beaucoup « d’artisans » qui fabriquent chez eux, les produits qu’ils vont ensuite vendre aux villageois et au marché.
Au Cambodge, les maisons traditionnelles ont un sous sol ouvert sur le jardin, la basse cour, le puit, c’est là que la vie s’organise de jour; les membres de la famille, toutes générations réunies, s’activent aux travaux.
Le Cambodge produit un peu plus de 7 millions de tonnes de ziz non décortiqué et 71% de la population est employée à la production de riz. Les cambodgiens en consomment 4 millions de tonnes. Les 3 millions de riz brut restant seront donc exportés après traitement soit 1 tonne brute
Mais revenons au traitement au stade familial
puis le mettre à égoutter tout doucement dans un coin du jardin
déposer une louche de pâte, sur une toile tendue au dessus d’une casserole d’eau bouillante. Faire un aller retour avec la pâte rapidement.
Patrick m’a fait remarquer que ce mode de séchage est à l’origine des quadrillages sur les galettes que nous achetons !
Je n’ai ni les proportions ni la recette mais je ne pense pas que nous puissions reproduire cela dans nos cuisines européennes.
sérénité au jardin dans la campagne autour de Battambang
merci Brigitte …ton article est très intéressant 😉 bises
belle ballade gourmande !
Magnifique article et superbes photos! Ca donne envie d’aller faire un tour!
Je me souviens de ces superbes et intéressantes photos ; la marque du treillage de bambou est en effet caractéristique, au point qu’elle est reproduite par les séchoirs industriels pour les feuilles de riz que nous achetons en France, et ailleurs…
Superbe reportage, tu as fais un cours de cuisine à Battambang. C’est une jolie petite ville coloniale. j’y avais suivi un cours de cuisine sympa.
J’ai adoré Battambang nous y retournons en Septembre, terminer le sud du Cambodge. Pas eu le temps de suivre un cours mais cette fois ci c’est au programme. merci de ta visite, j’ai eu la bonne surprise de voir que tu continues ton blog; à tout bientôt
superbe reportage!
Fort intéressant ce reportage … Merci ma grande. Et comme Patrick, je sais à présent d’où proviennent les croisillons sur les galettes !
Pas bien loin le Cambodge de la Malaisie où vit notre fils. Peut être irons-nous y faire un tour car d’après les photos que j’ai vues, c’est super chouette +++
Bises et bonne fin de semaine.
Il faut un sacré coup de main pour réussir ces galettes!… Effectivement il vaut mieux de contenter de les acheter!.. Merci pour le reportage en tous cas!
J’avais suivi jusqu’au lait végétal, j’aurais donc du avoir la bonne adresse de blog, du coup je reviens dessus, avec ce chouette reportage. Après le lait de riz, à quand tes galettes « maison » ?
on va en faire avec Anne en octobre sur place dans sa cuisine. Me suis inscrite à des cours de cuisine aussi
Sympa.
ca me rappelle la fabrication de la kasave en Gpe avec le manioc.
bonsoir, j’ai habité en Guyane et la fabrication des galettes de manioc bien que plus épaisses, ont un air de déjà vu en effet. Vous etiez où en Gwada?
passionnant !
rêvons tant que nous le pouvons encore…. tu vas bien ?
Révélation : je savais que le quadrillage en question était dû au tressage mais je ne savais pas que les industriels avaient poussé le vice à reproduire la touche artisanale tellement associée à ses galettes étranges rentrées dans nos cuisines depuis si longtemps.
Magnifique reportage, j’adore le coup du tourniquet, alors donc les galettes sont cuites à la vapeur avant d’être séchées, j’avais déjà vu un article là-dessus mais j’ignorais cette étape. Merci!
ravie que cet article vous ait plu. Sous peu fabrication des nouilles de riz, tout aussi artisanalement et lavage dans les eaux du Mékong ! un grand moment ….Bienvenue sur mon blog
Et… où est donc la Photo du Mois ? Moi qui me réjouissais de voir le jeu de main proposé sur un blog au nom si alléchant.
Merci, Cara….La photo est publiée avec retard, j’en suis confuse;
j’espère qu’elle te plaira
Je vais voir ça tout de suite 😉